Qu'en est-il du devenir de cette vaste " collectivité " que le visiteur nocturne avait désignée par un " geste large " ?
Que deviendront " les autres " ?
« Et celui-ci, Seigneur, que lui arrivera-t-il ? Jésus lui dit : Si je veux qu’il demeure jusqu’à ce que je vienne, que t’importe ? Toi, suis-moi. » (Jean 21:21-22)
N'essayons pas de nous mettre à la place de Dieu ... faisons Lui simplement confiance en Le suivant.
Autant les verbes " juger " ou " condamner " semblent durs et sans appel, autant le verbe " apprécier " est porteur d'espoir.
Dès 2001, je constatais dans ce rêve que l'individu " est valorisé (apprécié = il a un prix) ".
Même s'il n'est pas (encore) sauvé, il demeure inestimable :
« Et même les cheveux de votre tête sont tous comptés. » (Matthieu 10:30)
Dieu l'observe, le jauge, l'apprécie, murmure peut-être à son oreille ... " Je t'attends ... quand vas-tu changer ? "
Le choix repose sur la dualité : croire ou mourir ; être sauvé ou être condamné ; la Lumière ou les ténèbres ...